So Give Them Blood.

Vampire Mort Messages : 299 Date d'inscription : 18/06/2009 Age : 34

Allez, ça faisait longtemps un pti OS ! Il ets tellement long que j'ai du le poster en deux partie So Give Them Blood. 214907

Je ne suis pas habitué à écrire "ce genre" de One-Shot, vos avis et conseils sont donc les bienvenus -___-' La chanson qui m'a inspiré, c'est Sleep.

« Ta pris les menottes ? »

« Quoi les menottes ? »

« Tu les as prises ? Gerard, me dis pas que tu les as oubliées ! »

« Détends-toi. Je te sens nerveux. »

Non, mais franchement ! Pourquoi sommes-nous devant un ancien hôpital psychiatrique pour fêter nos « un mois » ? Merde! Les amoureux normaux, ils se retrouvent au parc, devant un petit lac rempli de canard, non ? Alors pourquoi est-ce que je le suis dans cet endroit lugubre ? Son coté je-ne-fais-jamais-rien-comme-tout-le-monde me plait. Mais là, j’apprécierais un peu de normalité, pour changer. Les reflets froids de la lune se reflètent difficilement dans les carreaux crasseux ornés de barreaux rouillés qui entourent la bâtisse. Gerard sort une vieille clé aussi rouillée que la serrure de sa veste. A mon grand étonnement, la porte s’ouvre.

« Comment t’as eu cette clé ? »

« Aucune importance. On rentre ? A moins que tu ne te sois dégonflé ? »

Son ton était aussi glacial que l’ambiance entourant l’ancien hôpital. Mais je ne pouvais pas reculer. Il entre, je le suis. Evidemment, l’installation électrique datant des années vingt ne fonctionne plus. C’est dans une semi-obscurité que je suis celui qui m’a entrainé ici. Sur le sol, de grand carré de lumière grise provenant des fenêtres tranche la monotonie du décor. Dans ce couloir, de vieilles coupoles métalliques pendent encore au plafond, avec leurs énormes ampoules éteintes.

« Hey, on ne pourrait pas allumer ces lampes ? »

« Chuuut Frank »

Il ne se retourne même pas. Il continue de s’enfoncer dans l’étrange bâtiment. Je veux partir d’ici mais n’ose pas. Pour qui me prendrait-il ? Il m’a déjà raconté que lui et son jeune frère venait souvent ici, enfant. Il m’a également parlé d’une histoire, une légende urbaine sur ce lieu. Dans les années trente, un docteur en psychiatrie réputé, le Docteur Von Haussen, sacrifia des dizaines de patients pour mener à terme ses études sur l’activité cérébrale. Il n’hésitait pas à pratiquer des lobotomies sur des sujets vivants…et sans anesthésie. C’est vrai, un aliéné mental ne peut pas ressentir de douleurs physiques…c’était sa théorie. Mais tous ces nerfs tranchés à vif, toute cette chair mise à l’air causa sa perte. Le 17 octobre 1938, une révolte éclata. Un orage coupa l’alimentation électrique. Les grilles ne retinrent guère les patients déchainés. Cette nuit là, ils tranchèrent la gorge des infirmières et du docteur sadique avec leur ongles, avant de périr brulés vif dans l’incendie qui ravagea les bâtiments. Frank essaya d’oublier cette histoire. Après tout, c’était comme le Petit Chaperon Rouge, une fiction destiné à foutre les jetons, rien de plus. Comment peut-on ouvrir la gorge de quelqu’un simplement avec ses ongles ? C’est impossible. Gerard bifurqua à droite, dans un couloir plus sombre, qui n’inspira guère Frank.

« Tu sais où l’on va ? »

« Evidement. Nous sommes bientôt arrivés sur les lieux. »

« Quel lieu ? »

« Là où le Docteur s’est fait assassiner. »

Ils se trouvaient à présent devant un escalier en pierre, assez étroit. Les murs étaient recouverts d’une peinture écaillée verdâtre, la couleur de tous les hôpitaux. Frank aurait préféré être n’importe où plutôt qu’en bas de cet escalier, et pourtant, il suivit son Amour sans broncher. Les murs de cette cave étaient frais et humides, l’air moite et sentant le moisi. Le cœur de Frank battait anormalement vite. Arrivé aux pieds des escaliers, Gerard entra dans la pièce de gauche, Frank sur ses pas, et referma la porte derrière eux, les plongeant dans le noir absolu. Un courant d’air secoua les cheveux de Frank, comme un souffle anormal. Il ne voulait pas rester une minute de plus dans cet endroit malsain mais Gerard alluma la lumière. Quelques étincelles tombèrent en cascade des vieilles lampes métalliques. Frank aurait préféré ne pas voir ce que contenait cette pièce. Au centre, une table d’opération, datant de plusieurs décennies, avec ses énormes lanières en cuir attaquée par la moisissure mais toujours aussi inquiétantes. Au dessus de la table, cette énorme lumière aveuglante, froide, aseptisée. Il y avait dans le fond de la pièce, une baignoire recouverte de crasses, presque rousse. Un cafard se baladait le long de ces parois extérieures. Et ce qui hérissa le plus les poils de Frank, fut cette espèce de cage rouillé, le long du mur…en particulier, les marques qui semblaient avoir arraché une partie du béton, des traces humaines, trop humaines, des griffes, des ongles. La force nécessaire pour marquer le béton doit provenir de quelqu’un de désespéré…quelqu’un qui lutte pour sa survie, ou contre la torture. Gerard s’est approché de la baignoire et contemple son contenu avec un petit sourire. Frank essaya de la rejoindre mais il fut stoppé net.

« Que dis-tu de t’allonger un peu ? Après une telle marche… »

Le sourire de Gerard était à la fois pervers et étrange. Tout était clair dans sa tête. Le jeu allait enfin pouvoir commencer. Frank, trop heureux que son Amour s’occupe enfin de lui, se laissa faire sans rechigner. Son amant l’attacha avec les sangles, son corps entièrement immobilisés sur la table où des années plus tôt, des corps furent mutilés à grand cris. Frank fut parcouru d’un frisson, agréable cette fois, encore plus fort qu’avec leur menottes habituelles. Gerard était quelqu’un de particulier, dans tous les domaines. Il resserra un peu plus les liens. Frank soupira d’aise, lorsque son bourreau saisi un vieux rasoir rouillé et plus très bien aiguisé. Il appuya fortement la lame contre la paume de son « patient »et y dessina une petite croix désaxée. Il prit ensuite un peu de sang qui coulait le long de la plaie sur ses doigts et le lécha sous le regard du propriétaire du précieux liquide. Il en déposa quelques gouttes sur les lèvres de sa victime, avant d’y coller ses propres lèvres. Leur baiser passionné ne fit qu’accroitre l’excitation du plus jeune, toujours attaché. Subitement, dans les yeux clairs et singuliers de Gerard, se refléta quelque chose d’anormal, une part de démence, ses cheveux presque blancs sous l’intense lumière médicale rappelait la mort. Sa peau pâle faisait ressortir ses pommettes saillantes. Ses pupilles se rétrécissaient, pour le former qu’une fente féline, ou presque. Ses doigts effleurèrent la joue de Frank et celui-ci sursauta immédiatement. La peau de son amant était froide, un peu trop froide alors que lui-même bouillonnait à l’intérieur. Il commença à jouer avec ces doigts glacé, il tenta de les réchauffer avec sa langue. Gerard s’écarta subitement, une lueur macabre dans le regard. Il déchira un morceau du t-shirt de Frank, et s’en servi pour bâillonner sa victime. Ce dernier se défendit à peine, uniquement pour le jeu.

« Est-ce que je t’ai déjà parlé de Christian ? »

L’homme lié l’interrogea du regard. Pourquoi diable avait-il arrêté de s’occuper de ses lèvres ?

« Il y a fort longtemps avant de faire ta connaissance, je suis tombé amoureux de cet homme. »

Il recula dans le fond de la pièce, poursuivant toujours son récit.

« Nous partagions tout. Lui et moi étions faits l’un pour l’autre. »

Gerard se tenait maintenant à quelques pas de la vieille baignoire.

« Vraiment tout. Nous brulions des mêmes désirs, des mêmes attentes, des mêmes envies. Ma vie était parfaite. »

Il fixa le fond de la baignoire avec ce même sourire inquiétant que la première fois.

« Lui et moi sommes venus dans cette pièce. Il m’a laissé l’attacher, tout comme toi. Et puis… »

Il se pencha vers la baignoire et y plongea le bras. Un liquide saumâtre déborda avant de s’écouler sur le béton de cette cave. Après quelques secondes de recherche, Gerard ressorti son bras dégoulinant d’eau putride, tenant dans sa main…une main décomposée. A cette vue macabre, Frank tenta de se redresser mais les liens lui maintenaient solidement le dos contre la table. Mais plus inquiétant encore, une voix étrange envahis ses tympans, une voix mécanique, rauque et effrayée à la fois. Elle était presque inaudible à cause des interférences, seuls quelques mots étaient compréhensibles. Terrors…night…gripping my throat… Il se débattait toujours tandis que Gerard s’approcha lentement de lui, tenant toujours cette main morte dans la sienne, la contemplant comme si elle était un mignon petit chaton, cette lueur à la fois innocente et malsaine dans le regard…

« Et puis, je me suis approché de lui. J’ai approché mes lèvres de son oreille. Il était toujours immobile. Et je lui ai posé une question… »

En racontant son souvenir, il s’était approché si près de « son jouet », que ce dernier sentait le souffle de son Amour dans le creux de sa nuque. Mais avant de poser sa question, Gerard s’amusa à faire glisser lentement les doigts morts et décomposés de son « chaton » le long de la joue de Frank. Horrifié, celui-ci eu envie de hurler ! De pleurer ! De s’enfuir au contact de cette peau cadavérique contre la sienne. Mais les sangles étaient trop serrées. La voix inquiétante dans le fond répétait inlassablement les mêmes paroles depuis que Gerard avait sorti cette main putride de la baignoire. Gripping my throat…serrer ma gorge…

« Est-ce que tu m’aimes Frank ? »

Ce petit jeu le dépassait, il voulait crier toute sa peur mais le bâillon l’en empêchait. Il se senti impuissant, pris au piège, prisonnier d’un bourreau sans pitié. Pour la première fois, il n’avait plus aucune confiance en son Amour. Il en avait même peur.

« Merveilleux. Je t’aime aussi Frank. Je suis heureux que tu m’accorde ta confiance et ton amour pour ce qui va se dérouler maintenant »

Le plus jeune n’avait rien répondu du tout ! Il ne le pouvait pas, tout comme il ne pouvait se débattre, il étouffait à l’intérieur, se sentait écrasé. Ses muscles luttaient en vain. Cette paralysie le tuait. Gerard approcha son visage de la main immobilisée par le poignet de sa victime. Lentement, sa langue glissa le long des doigts de Frank, très lentement. Ses fines dents jouèrent malicieusement avec ces ongles pas très nets. Frank ferma les yeux et essaya de se concentrer sur autre chose. Cette mise en scène étaient peut –être un peu plus extrême que la normale mais Gerard avait toujours eu ce coté bizarre. Il fut un peu rassuré et même honteux d’avoir douté du comportement de son Amour, de ne pas lui avoir fait confiance. Il lui en avait surement fallu du temps pour tout mettre en place, programmer l’enregistreur pour diffuser cette voix étrange au moment précis où il sortirait cette surement fausse main de cette surement fausse baignoire. Finalement, Frank apprécia les efforts réalisé par son Amour. Il se détendit complètement à présent, un peu trop même, il se sentait de plus en plus à l’étroit en bas, et aura voulu que le signaler à Gerard mais celui-ci n’accordait d’attention qu’à ses doigts…pour le moment. Il léchait de plus en plus passionnément l’index du plus jeune, qui poussa un petit soupir d’aise à travers le bâillon, avant de le fourrer entièrement entre ses lèvres et de l’entouré de sa langue. THIS TERRORS. Les dents se referme violement et avec force, sectionnant l’index de la victime toujours liée, pile entre les phalanges. Le délicieux liquide rouge et chaud qui s’écoulait de la blessure chatouillèrent les papilles du plus vieux. Frank voulu pousser un hurlement de douleur, mais il était toujours retenu. L’empêcher d’exprimer sa douleur était la pire des tortures. Sa main droite ne comptait plus que quatre doigts à présent. Méticuleusement, Gerard se releva et s’éloigna de la table chirurgicale, le temps de lancer le doigt encore ensanglanté de Frank dans la saumure de la baignoire rouillée d’où il avait extrait un morceau de corps plus tôt dans la soirée. Frank se débattait toujours, des larmes de douleurs pleins les yeux, son sang dégoulinant chaudement sur sa manche. Gerard lui tournait à présent le dos, concentré sur un vieux chariot rouillé dont Frank n’avait pas encore remarqué la présence. These terrors at night. La voix ne s’épuisait toujours pas. Répétant encore et encore la même rengaine. Après quelques instant plongés en pleine réflexion, Gerard pris quelques chose sur le chariot et retourna près de Frank, qui s’agita encore plus lorsqu’il aperçut se que Gerard tenait dans la main…un scalpel rouillé mais encore acéré.

Vampire Mort Messages : 299 Date d'inscription : 18/06/2009 Age : 34

« Tu te demandes surement à qui appartient cette voix ? »

Il approcha le couteau de la joue de Frank.

« Elle appartient à Christian »

Il appuya longuement la lame effilée contre la pommette de sa victime, et descendit jusqu’à l’extrémité de ses lèvres, laissant au passage une fine ligne rouge, mais surtout, une douleur insoutenable. Tout ces terminaisons nerveuses tranchées, brulante, atroce.

« Lui, il m’a supplié d’arrêter. Mais je ne lui avais pas posé de bâillon comme à toi. »

Frank souffrait comme jamais. Sa joue tranchée lui renvoyait une douleur lancinante. Et la plus grande torture, était de ne même pas pouvoir hurler. Il était son jouet, sa marionnette, prise au piège, aux mains de son bourreau.

«Au bout d’un moment, j’ai été obligé de lui coudre les lèvres. Ca lui allait plutôt pas mal ! Mais en voilà une idée ! »

Il s’éloigna à nouveau vers le petit chariot, pour en revenir quelques secondes plus tard avec une vieille aiguille et du fil de nylon…même pas à usage médical. Avec une concentration extrême, Gerard fit glisser le bout de ficelle à travers le chat, avant de transpercer les lèvres auquel il avait pu gouter plus tôt dans la soirée.

« Une fois à l’endroit, une fois à l’envers,… »

Le bâillon était à présent cousu pour de bon sur le visage du malheureux, son visage se couvrait de plus en plus de son sang. Il voulait mourir, ne plus ressentir la torture suivante, que déjà son Amour découpait le bas de son t-shirt, avec une impatience non-dissimulée…Une petite entaille à peine réalisée, Gerard déchira le reste du tissu avec ses mains. Avec le mouvement, un paquet de cigarettes s’échappa de la poche de Frank avant de s’écraser sur le sol. Gerard s’arreta net, et s’écarta d’un pas comme pour mieux admirer ce paquet en carton fin. Il s’en approcha, s’abaissa et le ramassa lentement. Son regard changea.

« Voyons, mon Amour, tu m’avais promis que tu avais arrêté »

Frank souffrait trop, pleurait trop, pour prêter attention au détenteur de ses cigarettes. Gerard glissa une fine cigarette hors du paquet, la cala entre ses deux doigts avant de l’embraser avec le briquet. Il ne porta pas le mégot à ses lèvres, mais l’approcha plutôt de sa victime.

« Tu en rêve, n’est-ce pas Frank ? Tu rêve de coller tes lèvres sur cette crasse plutôt que sur les miennes ? »

En un éclair, Gerard appuya le mégot incandescent sur le ventre de Frank, juste sous le nombril. Celui-ci s’agita mais son bourreau ne lâcha pas prise. Il recommença, encore et encore. Laissant des taches de cendres sur le torse de son Amour, avant de jeter le mégot à présent trop court à terre et de le piétiner avec sa lourde semelle. Du sang s’écoulait toujours du corps de Frank, mais ce n’était pas suffisant pour Gerard. Il reprit donc son scalpel, enfonça la pointe juste au dessus du nombril de Frank, tentant de percer ses organes. Le coup aurait pu être fatal, mais Gerard connaissait suffisamment le corps humain pour savoir où frapper pour que la victime reste en vie le plus longtemps possible. Il fit glisser la lame acérée le long du torse de son amant, là où quelques jours plutôt, c’était ses doigts fins qui caressait cette peau. Il remonta jusqu’à la gorge, appuyant moins fort, prenant soin de ne pas trop blesser son Amour. Il devait assister à la suite quand même. Ensuite, il descendit plus bas…Il déchira sans grande difficulté l’épais tissu rugueux qu’était le jeans de Frank. Et il s’amusa à mettre la rotule du malheureux à l’air libre, découpé toute la chair autour, la chair de sa victime immobilisée. Ses mains étaient à présente couvertes de sang, mais on voyait enfin la blancheur de l’os. Encore quelques coups. Mais son Amour s’agitait trop ! Peut-être qu’avec moins de sang, il serait plus calme ? Gerard retourna à son habituel chariot rouillé, pour en revenir avec une cisaille, tout aussi rouillé. Il sectionna les neuf doigts restant. Les hurlements de Frank étaient tels qu’une partie du bâillon s’était décousue, causant encore plus de souffrance à la victime, ayant perdue une partie de ses lèvres dans l’opération. Gerard fut soudain pris d’une douceur venue de nulle part. Les larmes aux yeux, il s’approcha du visage de Frank, jeta sa cisaille à terre, faisant résonner un bruit métallique. Il passa son doigt déjà couvert de sang sur les lèvres arrachées du plus jeune, avant d’y coller les siennes. L’ultime baiser. La saveur sucrée du précieux liquide rouge qui donne la vie. Ce foutu liquide qui rempli notre cœur, au lieu de l’amour. Quand Gerard rouvrit les yeux, ceux de Frank étaient ouverts, mais surtout immobile…un peu trop immobile, tout comme son torse lacéré. Il était mort. Frank était mort. Lui, Gerard, l’avait tué. Il ne voulait pas le croire. Des larmes salées roulèrent sur ses joues, avant de finir sur celle de Frank, nettoyant un peu de sang sur leur passage. Gerard se redressa après avoir repris ses esprit, il ferma les paupières de son Amour avec ses doigts, avant d’y enfoncé deux clous, pour être certain qu’elles seront closes pour l’éternité. Il souleva facilement le corps mutilé de Frank, et le porta comme un jeune marié porte son épouse pour la première fois. Il déposa sa dépouille dans la baignoire rouillé, sur les restes de Christian. La saumure recouvrait déjà son corps. A cet instant, la voix qui criait ses plaintes depuis à présent plus de deux heures changea, devint plus grave, un peu comme celle de…

« Kinda feel like as if somebody was gripping my throat , there are these tremors ,these terrors , at night and these terrors kinda like i feel like as if somebody was gripping my throat and squeezzing »

C'est plutôt comme si quelqu'un attrapait ma gorge, il y avaient ces secousses, ces terreurs, la nuit et ces terreurs, et je ressentais comme si quelqu'un m'empoignait la gorge et la serrait fort."

Gerard s’éloigna de la baignoire avec un petit sourire, et resta un moment près de la porte à contempler la pièce avant de s’en aller.

« Qui son cœur allait-il choisir maintenant ? »

Caroow ... Je sais même pas quoi dire, quoi penser, quoi faire.
Cet os m'a chamboulé, j'ai tout ressentit, toutes les souffrances de Frank & j'en pleure
Mais wow, c'est pas descriptible, c'est pas possible d'être aussi doué.
Merci pour toutes les putains d'émotions que tu m'as fait ressentir à travers ce texte.
Merci encore & encore.

Invité

Ah j'ai déjà lue cella ! :O
Je l'ai reconnue tout de suite, dés que tu as mis que Sleep t'avais inspirée j'ai eu un doute, et les deux premières phrases m'ont convaincue ! ( J'ai encore été la relire ce matin, enfin hier matin, en même temps ah ah ).
Cette Os est étrangement troublante.
Mais elle est surtout Merveilleusement bien écrite.

Wouaw.
Je suis trop bouleversée pour dire quoi que ce soit.
Tu ne peux pas imaginer ce que j'ai ressenti en lisant ça. Tu ne peux pas savoir l'effet que tes mots ont sur moi.
OMFG.

Tu es tellement douée...
Le seul hic, est que j'ai eu une coupure de courant pendant que je lisais ton superbe os. Mais ça tu n'y peux rien ><. Enfin, tu dispose tes mots, les uns après les autres, dans un ordres plus que splendide. Et la manière dont tu les disposes me font tout ressentir, c'est... Wow ! Juste Wow..

Vampire Mort Messages : 299 Date d'inscription : 18/06/2009 Age : 34

Merci à vous tous ! Je ne sais pas quoi dire d'autres, vous etes trop gentil Embarassed

Vampire dépendant Messages : 123 Date d'inscription : 16/06/2009 Age : 33

OMG
Je ne pensais pas que c'était possible d'écrire aussi bien une scène comme celle ci
Bon j'avoue c'est la first time que je lis un tel écrit mais
wouahou !!!!
J'avais trop mal pour Franck, j'imaginais trop la scène
c'est troublant quoi.
Franchement, chapeau !

Vampire Mort Messages : 299 Date d'inscription : 18/06/2009 Age : 34

Thanks

Vampire dépendant Messages : 123 Date d'inscription : 16/06/2009 Age : 33

De rien

JE VEUX PAS DU TOUT FAIRE MA RELOU HUN !

Mais c'est FranK... Embarassed

Ouais bah t'es relou x)
Nan je suis méchant (a)

Mah que oui que tu es méchant é.è